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L’amour de Tim Qo Tu vaincra, partie 5/9

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Récemment, dans Anciennes prédictions, 93e partie, ils ont montré cet article de journal sur le Maître. Et ça date de 2004 et ça parlait du Maître : « La bonne Samaritaine continue sa frénésie d’achats au Canada. »

(Maître, pouvons-nous poser quelques questions ? ) Oui. Bien sûr, bien sûr. ( Donc récemment dans les Anciennes prédictions, 93e partie, ils ont montré cet article du journal sur Maître. Il date de 2004 et il parlait du Maître : « Le bon samaritain continue sa frénésie d’achats au Canada. C'est le gros titre, et l'histoire commence en disant : Elle a réussi à prendre dans ses bras des centaines de personnes dans la ville, vendredi soir. Et ce n'était pas la première fois. » Et c’était si intéressant et si émouvant de lire cet article. Nous avons aussi appris auprès d’un des assistants du Maître de l'époque, que ce n'était pas que les journaux, mais aussi à la télévision, ils ont diffusé des informations sur le Maître tous les jours pendant un moment. Et je voulais juste demander si le Maître pouvait nous en dire plus sur cette époque. ) C'était une époque intéressante et j'ai rencontré de bonnes personnes. Je pense que les bonnes personnes sont partout. C'est juste qu'elles ne se montrent pas et vous ne les voyez pas, mais elles sont partout.

Par exemple,j'ai rencontré un bon chauffeur de taxi. Il m’a aidé à porter des sacs de cadeaux, en courant partout en ville parce qu’il vit là-bas. C’est un musulman. (Oh.) Et il ressemble aux Arabes, pas aux Canadiens. Immigré, je pense. (Oui, Maître.) Et puis, c'est lui qui connaissait. J’ai demandé au chauffeur de taxi, parce que je ne connaissais nulle part. Le taxi conduisait donc devant et nous le suivions pour aller dans la zone pauvre. (Oui, Maître.) Et puis il m'a aidée à apporter des sacs et des sacs à différentes maisons, et je l'ai aidé à sonner à la porte et on s'enfuyait. Un bon travail d'équipe, non ? Il est si bon, si bon. Il le fait avec bonheur. (Ouah.) Et il m'a dit que les musulmans le font aussi pendant le Ramadan. J'ai dit : « Oui, je le sais. » Et il m'a demandé si j’étais musulmane. J'ai dit : « Oui, je suis aussi musulmane. Je suis musulmane, je suis catholique. Je suis bouddhiste. Je suis hindoue. Je suis sikhe. je suis jaïniste. Je suis de toute bonne religion. Je les crois toutes. » Il a juste ri. Et plus tard, il m’a invitée spécialement, il m'a supplié de venir chez lui. Et puis sa femme m'a préparé du thé. Je me souviens, c'était de la sauge. Des feuilles de sauge. (Oh.) Ils la font sécher et ensuite ils en font du thé. Oh, je n'avais jamais goûté un si bon thé avant, et je n'ai jamais su qu’on pouvait faire du thé avec la sauge. (Oui.) Donc, quand je suis revenue en Europe plus tard, j'ai essayé d’acheter de la sauge en sachet et ensuite de faire du thé, mais il n’a pas aussi bon goût. Peut-être que je ne savais pas comment ou quelle quantité mettre. Et peut-être que la dame musulmane l’a préparé avec tout l’amour. (Oui.) Parce que son mari lui a dit ce que j'avais fait et elle était très respectueuse avec moi, et m’a invitée à manger des biscuits. Et je m'en suis assurée, j’ai demandé s'il y avait des œufs ou non, et donc je n’ai pas mangé. Alors ils ont apporté quelque chose sans œuf. J'ai oublié ce que c'était. (D'accord.)

Et plus tard, en raison de tous ces dons, j'ai donné tout l'argent que j'avais et j'en ai aussi emprunté à certains de vos frères et sœurs du Canada à ce moment-là. Mais je l’ai rendu. Je pense que c'est environ 60 000 $ américains. (Ouah.) J'ai demandé à un comptable de leur faire un virement. Quoi qu'il en soit, à cause de ça, quand j'ai loué un jet privé pour rentrer en Europe, je n'avais pas assez d'argent pour payer. Je devais donc quelque chose, et les pilotes, ils étaient si bons qu'ils m'ont laissé faire. J'ai dit : « Je vous paierai dès que j'atterrirai, parce que mon équipe viendra me chercher et j’aurai alors l'argent pour vous donner du liquide. » Ils nous ont cru et laissé monter. J'ai dû les embaucher parce que j'avais des chiens. Et je devais vite m’enfuir parce que quelque chose s'est passé qui n'était pas très favorable pour moi.(Oh.) Certaines personnes, elles faisaient de la drogue et d'autres choses et elles recherchaient une situation similaire. Et bien que je ne sache rien de tout ça, j’ai fui. (Oui, Maître). Je fuis. Parce qu'ils m'ont demandé : « Avez-vous eu quelque chose à voir avec ça ? » Des personnes qui me connaissaient. Et j’ai dit : « Non ! Bien sûr que non. Je ne suis même pas au courant. » Et donc j'ai dû m’enfuir avant d’avoir des ennuis. (Oui, Maître.) Le danger se cache partout pour moi, n'importe quand comme ça. On ne sait jamais. (Oui, Maître.) C'est mon avocat qui m'a même questionnée comme ça.(Ouah.) L’avocat que je venais de connaître. J'ai pensé que peut-être je resterais au Canada. J'aime le Canada. J'aime les gens, ils sont pacifiques. Et ils sont simplement bienveillants. Ils ne sont pas si guerriers. (Oui, Maître.) Ils ne sont pas agressifs, ils sont tellement paisibles. Et l’avocat est censé m’aider, mais ensuite il a lu quelque chose dans le journal. Et il m'a dit... Parce que certains Asiatiques l'ont fait, ils ont planté quelque chose avec la feuille verte que les gens mangent ou fument. (Marijuana.) Ah ! Ce n'est pas de la cocaïne, je me souviens. De la marijuana.(Oui, Maître.) Ils m'ont dit qu'ils en ont planté une partie dans les maisons (Oh.) pour la vendre. « Avez-vous quelque chose à voir avec ça ? » J'ai dit : « Non ! Non, bien sûr que non. Je suis végane et je ne fais pas ce genre de choses. Je ne me drogue pas, je ne fume pas, je ne fais rien qui soit préjudiciable aux autres ». Mais quand même, me poser cette question ! Je fuis. C'est pourquoi je ne voulais pas rester là-bas et aller blanchir mon nom. J'avais peur de ne pas pouvoir blanchir mon nom même si je ne faisais rien de mal. Oh, si effrayant, alors j’ai fui. J'ai engagé le plus vite possible un avion, un petit, ils ont donc sauté d'une île à l'autre. Ils prennent 24 heures pour se rendre en Europe.(Ouah.) Et mes pauvres chiens. Etc., etc. De toute façon, ça va, c'est bien. Au moins, on est arrivés sains et saufs. Tant de choses que je ne peux pas vous en dire plus. (Oui, Maître.)

Donc, les bonnes gens sont partout. Mais c'est aussi dangereux. Plus tard, j'ai réalisé que j'étais trop négligente. J’allais partout pour faire des dons. Je ne pensais pas que c'était si important, mais pour d'autres, ils pensent que c'est vraiment énorme parce qu'ils n'en avaient pas avant. Comme l'Armée du Salut a vu que je leur ai donné 8 000 dollars US mais je ne pensais pas que c'était énorme. Mais pour eux, c'est important, en plus de tous les vêtements et affaires, les cadeaux, le chocolat, et tout ça. C'était donc le sujet de discussion de la ville, et la police m’a même contrôlée, pour voir si j'avais ou non des marchandises volées. (Oh.) Plus tard, ils ont découvert que je les ai achetées au marché. Ce n'est pas le marché qui a été mentionné dans ce journal, parce que je pense qu'un ou deux journaux supplémentaires ont aussi écrit à ce sujet. Je ne savais pas. Seulement ce journal-là, ils m'ont prise sur le fait. Je vous dirai pourquoi plus tard. (OK.) Je pensais me souvenir vous en avoir déjà parlé mais pourquoi le demander à nouveau ? Peut-être n’ai-je pas parlé des détails. Si je l’ai déjà fait, faites comme si vous n'aviez pas entendu, et riez pour que je me sente encouragée pour vous en dire plus. ( Nous voulons en savoir plus, Maître ! ) Tant de choses, donc je ne sais pas si je peux le dire dans l'ordre.

La police m'a même contrôlée. Et puis ils ont découvert que la carte de crédit est vraie et elle est à mon nom. Sinon, personne ne connaissait même mon nom. Mais ensuite, ils ont gardé le silence parce qu'ils savaient que je voulais que ça reste incognito. Parce que quand je suis allée à la caserne des pompiers, ils m'ont demandé mon nom et tout ça pour dire merci. J'ai dit : « Non, non, pas besoin. C'est Dieu qui donne, pas moi. (Oui.) Alors svp., je ne suis qu'un facteur. » J'ai dit : « Quand le facteur a-t-il jamais eu son nom imprimé avec le donateur ? Je ne suis qu'un facteur, factrice, livraison ». Ils ont tous souri et ont laissé tomber. Mais plus tard, ils ont eu des doutes, ils sont allés me contrôler. La police. Parce que d'une certaine manière, c'est énorme. Donc, parfois, je suis trop négligente comme ça. Ça s'est aussi produit à d'autres moments, mais j'oublie toujours. Quand je vois quelque chose que je dois faire, j’oublie tout le reste. Je m'oublie moi-même et j'ai atteint le maximum de ma carte, donc je n'avais même pas assez pour payer l’avion. Et j'ai emprunté, mais ils n’en avaient pas non plus. Je devais vite m’enfuir. Je ne pouvais pas demander à tous ou aux disciples de me prêter des sous. Je n'avais pas le temps. (Oui.) J'ai réservé l'avion et il est venu presque tout de suite. J'ai dû faire mes bagages, les affaires de mes chiens. Je pense que deux ou trois frères m'ont accompagnée, et leur crédit était minable, 2 000, ou 500. Peu importe, au moins ils avaient nos noms et le passeport, donc ils m'ont fait confiance. J'ai dit : « J'ai de l'argent, monsieur. » Peut-être qu'ils savaient que je suis la dame qui a fait les dons. (Oui.) Parce que la dame blonde qui ressemble à une chinoise, ils n'en voient pas (souvent). Cheveux longs, blonds.

Même si le journal m’a suppliée de faire une photo, J'ai dit : « OK, OK. Alors vous ne prenez que le dos. Comme ça, c'est une preuve pour vous, pour votre journal. » Donc, ils ont pris ma photo de dos, seulement. Ils ont vraiment respecté ma volonté. Mais même alors, le lendemain, je suis allée dans un autre magasin pour acheter d'autres vêtements, parce que l'Armée du Salut m’a dit que certains hommes sont trop gros, trop grands, des sans-abri sont très grands. Rien ne leur va. Alors j'ai dû aller dans un magasin spécial, il m'a dit où aller. J'y suis allée, j'ai acheté des pantalons longs spéciaux, de longues et grandes vestes pour eux. Et une ou deux personnes ont dit : « Oh, vous êtes la dame du journal et de la télé qui a donné ! » J'ai dit : « Comment le savez-vous ? » Ils m'ont répondu : « Nous avons vu votre photo. » J'ai dit : « Photo de dos seulement. » « Oui, mais on peut reconnaître. » Je suppose que c'est parce que j'ai aussi acheté des vêtements spéciaux. Je suis une femme asiatique, pourquoi devrais-je acheter de l’extra large XXXXL ? Pour qui ? Seulement pour les Canadiens. Enfin, alors ils ont dit : « Merci. Vous êtes très gentille, très bonne. » J'ai dit : « Oui. Dieu est très bon avec moi. J’essaie d'aider Dieu à partager Son amour sur Terre. »

Et puis j'ai vite couru avant qu'ils n'appellent encore les journaux. C'est pour ça que j'ai été attrapée. C'était, je crois, la troisième fois ou la quatrième fois. Alors j'ai été attrapée. (Oh.) L'autre fois, ils n'ont pas eu la moindre chance de le dire assez vite. Je me suis vite enfuie. Ce jour-là, j'achetais encore des trucs, des jouets, des trucs pour les enfants. Ça prenait plus de temps parce que j'ai dû en commander un spécial pour un enfant qui aimait vraiment avoir un jouet spécial.(Oh !) Et ils m'ont dit, nous devons donc le commander, et ça prend un certain temps. Une personne spéciale a dû venir me demander de remplir un formulaire, j'ai donc demandé au frère de remplir le formulaire. Je ne veux pas remplir le mien. Je ne veux pas, donc c'est bon. Mais j'ai quand même payé. À l'époque, j’avais encore un peu d'argent et j’ai payé une partie avec ma carte de crédit. Ma carte de crédit, vous ne pouvez pas sortir beaucoup de liquide en un jour. J'ai donc dû payer avec la carte de crédit, je ne voulais pas. (Oh.) Mais ma carte de crédit ne me donne pas assez d'argent pour payer ce que je voulais acheter chaque jour. J'en avais un peu, mais pas assez.

Alors quand je suis allée dans l’avion, je ne pouvais même pas laisser les disciples du Canada le savoir. J'ai fui. (Oui.) Je ne voulais pas faire de bruit et je devais fuir aussi vite que possible pour le plus petit avion, et c'était mouvementé, mouvementé et mon estomac s’est retourné, mon cœur s’est soulevé, (Oh.) et mon chien a chuté du niveau supérieur au sol. Heureusement, elle n'a pas été blessée. (Oh.) Nous l'avons mise dans la cage, même immobile, et avec moi aussi. Dieu merci. (Oui.) Parce que l'avion n'avait pas de place à l'arrière, alors ils se sont tous assis avec moi, mais dans la cage. Mais nous n'avions pas assez de place, nous les avons donc empilés les unes sur les autres. Et parce qu'elle a heurté si fort, mauvais temps, l'hiver. Qu'est-ce que c'était alors, avril ? (Cet article datait de janvier). Oh alors, pas étonnant, bien sûr. (Donc, l'hiver, oui.) C'était encore l'hiver, et il faisait très froid, et donc le temps était très mouvementé. Heureusement qu'ils nous ont pris. Je pensais que nous n'aurions jamais d'avion avec ce genre de météo. Mais peut-être qu'ils étaient désespérés ou autre. Ils nous ont juste pris même si nous avons crédité de l'argent que nous n'avions pas. Je me mêle juste de trop de choses, j'ai dépensé tout mon argent, je ne pensais pas que j'en aurais besoin. J'ai dépensé jusqu'à ne plus pouvoir. J'ai atteint le maximum de ma carte et toutes les espèces étaient parties.

(Maître, l’article dit que Vous avez vidé étagère après étagère au magasin et que Vous avez rempli des camions de jouets pour les pompiers. ) Oui. Ça c’était un autre jour. Les jouets pour les pompiers, c’était un autre jour, avant. Et ce jour-là, le journal ne m’a pas attrapée. Ce jour-là j’étais toujours en train d’acheter et ça prenait du temps dans le magasin à cause de la commande spéciale. Puis l’un des hommes à l’extérieur ou à l’intérieur du magasin m’a vue. Je ne sais pas d’où il venait. Quand la journaliste est arrivée, je l’ai vu. J’ignorais qu’elle était journaliste. Je l’ai vue sortir 20 dollars et les donner à l’homme. Puis elle s’est avancée vers moi immédiatement et m’a demandé ceci et cela, et a dit qu’elle était journaliste pour tel et tel journal et qu’elle voulait m’interviewer. J’ai dit: « Il n’y a pas grand-chose à dire. Vous savez ce que je fais déjà, n’est-ce pas ? » Elle a dit : « Oui. Vous achetez des choses pour les gens, n’est-ce pas ? » J’ai dit : « Oui. Alors, plus besoin de m’interviewer, n’est-ce pas ? Au revoir. J’ai du travail à faire. » Elle a dit : « Non, s’il Vous plaît, s’il Vous plait. Laissez-moi Vous suivre pendant un moment » etc. J’ai dit : « Je vous en prie, mais pas de photo et pas de nom. » Et elle a continué à supplier jusqu’à ce que je lui donne un nom. Ensuite elle a vu mon téléphone et elle a dit : « Vous avez tant d’argent à distribuer et Vous utilisez un téléphone démodé. » Ce n’est pas un iPhone. Avant, c’était un téléphone très petit démodé, et avec du scotch dessus. J’ai donc dit: « Oh, mon chien, il l’a mangé. » J’ai ajouté : « J’ai de la chance de l’avoir récupéré à temps. Sinon, il serait fini. » Mais il a bavé et l’a mouillé et cela a mis du temps pour sécher la batterie pour l’utiliser à nouveau. La batterie ou la carte SIM, je ne me souviens pas. Et puis je l’ai scotché. J’ai dit : « Il marche encore ! » Pas de problèmes ! Et elle m’a regardée et elle a secoué un peu la tête. Peut-être qu’elle pensait : « Cette dame, je ne sais pas de quelle planète Elle vient. Elle doit être folle. » (Oh, non.) Ensuite, ce jour-là elle m’a attrapée parce que quelqu’un l’a rapporté. Parce que j’ai passé trop de temps dans ce magasin. Beaucoup de choses à acheter. (Oui.) Acheter des jouets et ensuite plus de jouets, et les jouets du camion étaient déjà partis, puis acheter plus de jouets et ensuite plus de vêtements. C’est pourquoi elle m’a suivie. On avait plusieurs voitures. (Oui.) Donc ce jour-là nous n’avions pas de camion. Nous ne pouvions pas louer de camions et nous ne pensions pas acheter beaucoup. Nous avons amené une fourgonnette et l’avons chargée à l’avant et à l’arrière, alors je me suis pressée entre les cadeaux, entre les sacs aussi. Sur le siège arrière, juste serrée avec des sacs également. Comme des airbags. Oui, c’est sûr. Au cas où la voiture aurait des ennuis, je n’aurais aucun problème. Tous les sacs m’entouraient.

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